Martel SchäferYear 12 |:| Sports Martel Schäfer Martel Schäfer Sexe : Taille / Poids : 1m73 / 68kg
Date de naissance : 12/09/1981
Pays d'origine : Allemagne (Stuttgart)
Emplacement du cristal : Tempe gauche
Couleur(s) de parole : #339966
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Martel SchäferSexe : Femme Date de naissance : 12/09/1981(16 ans)
Lieu de naissance : Stuttgart, Allemagne Nationalité : Allemande Habitation : S'Indarë
Race : Lézard Race de naissance : Humaine Pouvoir : Transfert de blessure
Classification : Black Sheep Raison : Boulimie et dépression
Année scolaire : Year 12 Cursus : Sports Date d'arrivée : Septembre 1996 RaceDate de transformation : Septembre 1996 Espérance de vie : ~90-100 ans Différences physiques : Une queue de lézard qui prolonge sa colonne vertébrale, et parfois de écailles sur sa peau Capacités raciales : Régénération des blessures Description détaillée : Martel est une lézarde, elle a une queue écailleuse d'une trentaine de centimètres qui s'agite derrière ses jambes dès qu'elle est intéressée par quelque chose, c'est à dire souvent. Sa langue est légèrement plus longue que la moyenne et plus pointue, mais la plupart des gens ne le remarquent pas. Elle a aussi quelques écailles vertes disséminées un peu au hasard sur sa peau et qu'elle arrache quand elles sont à des endroits trop... déplaisants. PouvoirDate d'obtention : Septembre 1996 Type : Actif Portée : Champ de vision Description détaillée : Martel peut transférer toute blessure qui lui est infligée ou qu'elle s'inflige elle-même à une (unique) personne dans son champ de vision. Etant donné qu'elle se régénère assez rapidement, elle a tendance à moins réfléchir qu'une personne normale quand elle l'utilise. Caractère Martel a l'allure d'une personne indéniablement positive. Pourtant, elle traîne un complexe d'infériorité qui la suit depuis son enfance et qui lui colle à la peau - et elle préfère l'enterrer sous le tapis et essayer de prétendre qu'il n'existe pas. Ça agace parfois son entourage, parce que sa bonne humeur forcée n'est pas forcément contagieuse et qu'elle flirte assez souvent avec le je-m'en-foutisme.
Parlant de flirter, c'est l'un des passe-temps qu'elle a développés depuis la fin de l'été. Dragueuse invétérée, radicalement opposée à la notion de timidité, elle a laissé derrière elle tous ses complexes et toutes ses angoisses le jour où le miroir lui a enfin renvoyé l'image d'une jeune fille sexy qu'elle est déterminer à garder. Finalement, Martel vit du regard des autres. Elle applique sur ses vieilles blessures une pommade faite d'admiration, de sourire en coin et de commentaires appréciateurs.
C'est une fêtarde qui met le mot d'ordre sur l'amusement et l'importance de profiter de la vie, cette nouvelle vie qu'elle s'est promise en arrivant en Angleterre. L'intimité, la possession et la fidélité sont elles aussi des notions inconnues. Superflues. C'est une séductrice dans l'âme, mais elle peut se contenter d'un flirt ou d'un baiser, comme pour laisser le suspens… ou parce qu'elle n'a pas l'envie d'aller plus loin. Tant qu'elle a le regard, l'attention et l'amusement dont elle a besoin, elle s'en contente très bien.
Mais malgré son envie de légèreté, elle est aussi capable de sérieux. Si elle est loin d'être la fille la plus intelligente du monde au niveau scolaire, elle a un côté profondément humain qui la rapproche des gens et lui permet de mieux les comprendre. Elle est à l'écoute et attentive, surtout auprès des laissés pour compte et des solitaires, une part de sa personnalité assez surprenante quand on connaît son caractère général.
Mais sa bonne humeur et sa tendance à s'amuser d'un rien ne l'empêchent pas d'être capable de se mettre en colère, et il vaut mieux ne pas être dans les parages quand elle s'énerve. Elle sait être glaciale quand elle le veut et se met dans une colère noire devant les injustices. Insultez une personne sous ses yeux, un de ses amis ou un de ses élèves, et vous le regretterez assez vite. Et sa colère dérive presque vers la violence si elle assiste à du harcèlement ou à quoi que ce soit qui y ressemble, d'autant plus si les harceleurs sont en groupe, ou si l'on fait du mal à un de ses proches ou à un de ses élèves. Elle ne supporte pas ça, et elle a l'habitude, qui lui vaut souvent des problèmes, de critiquer ça avec ses poings plutôt qu'avec des mots Physique Yeux : Jaunes Cheveux : Verts Couleur de peau : Taille : 1m73 Poids/Morphologie : 68kg, mince Marques visibles : Un tatouage de lézard sur la hanche gauche Vêtements/style : Des choses généralement peu appropriées pour une école, donc l'uniforme l'agace un peu Histoire Martel n'a jamais supporté ses parents, ni ses frères. À ses yeux, sa famille est la définition même de l'intolérance et de la haine d'autrui, un titre qu'ils ont durement gagné pendant toute son enfance et le début de son adolescence.
Ses parents sont deux personnes intransigeantes, stressantes, et elle ne ressent pour eux qu'un mépris teinté de dégoût. Elle a deux frères, Hans et Ludwig, respectivement de un et trois ans plus vieux qu'elle, qu'elle n'aime pas spécialement non plus. Si elle n'a pas eu une enfance marquée par des conflits fraternels permanents, elle a vite dû faire face à une dure réalité : plus jeune de la fratrie, elle avait été précédée par deux génies, diagnostiqués surdoués en école primaire. Elle les a vus réussir, sauter des classes, écarter l'école avec une facilité déconcertante. Alors qu'elle, elle n'était pas surdouée. C'était une gamine normale, un peu timide mais pas suffisamment pour ne pas avoir d'amis. Pas assez mauvaise à l'école pour nécessiter de l'aide, pas assez douée pour recevoir des félicitations. Elle ne recevait ni aide, ni soutient de ses parents et de ses frères, mais ses notes finales de primaire, moyennes sans plus, eurent un effet dévastateur sur elle dans les années qui suivirent.
Entrée au collège, elle subit une pression monstre de la part de ses parents. Comparée à ses frères, sans cesse rabaissée, ce bulletin de note qui signifiait son passage au collège mais aussi son niveau moyen est devenu pour elle le symbole de son entrée en enfer. Ses parents refusèrent catégoriquement de la laisser respirer, vivre, tant qu'elle n'aurait pas égalé, voire dépassé, le niveau de Ludwig, ce qui lui était totalement impossible. Elle n'était qu'une adolescente sans talent particulier pour les études, trop gentille, facile à écraser. Paniquée à l'idée d'échouer, effrayée par les reproches et la pression de ses parents, elle sombra dans une dépression due au stress qui se manifesta par une boulimie sévère. Son seul plaisir, son seul moyen de faire taire la peur qui lui grignotait l'estomac était de grignoter plus qu'elle. Elle comblait le stress par la nourriture tout en s’échinant les neurones sur des problèmes trop compliqués pour elle, et son corps s'en ressentit assez vite. Elle fut considérée comme étant en surpoids au début de son année de cinquième, mais ses camarades de classe n'attendirent pas ce diagnostic pour se moquer d'elle. D'une fille banale avec quelques amis sans être populaire, elle devint un bouc-émissaire, une victime facile à qui on lançait de la nourriture au coin des couloirs en l'insultant. Cible de moqueries et de harcèlement, elle a plongé dans une spirale de stress qui n'a fait qu'empirer sa dépression et la boulimie qui allait avec, créant un cercle vicieux infernal.
Mais elle n'a jamais eu le stress positif. Toute cette angoisse, tout ce repliement sur elle-même n'eut pour effet que d'empirer ses notes, réduisant son estime d'elle-même en cendres à mesure qu'elle décevait ses parents. Elle voyait leurs regards méprisants, le reproche latent, la supériorité de deux frères qui n'avaient jamais fait un pas vers elle, jamais un geste pour l'aider, se contentant comme les autres de la regarder de haut. La stupide petite Martel, incapable et obèse, à qui l'on fait remarque prétentieuse sur remarque prétentieuse. Aucun membre de sa famille ne rattrapait l'autre.
Du coup, elle ne fut pas vraiment surprise quand elle apprit qu'ils allaient l'envoyer en pension, loin d'eux. Très loin d'eux. Avec une mer pour les séparer. Et elle décida que s'ils étaient loin, elle pouvait relâcher la pression. Sans ses parents, sans ses frères, elle saisit l'occasion de prendre un nouveau départ. Elle ne savait pas encore qu'ils l'envoyaient dans un programme de soutien psychologique pour adolescents perturbés et, quand elle l'apprit, elle le prit... plutôt mal. A ce jour, elle ne sait pas vraiment si ses parents étaient vraiment conscients qu'elle allait mal ou s'ils avaient honte de son apparence et ont considéré qu'un programme de redressement pouvait guérir l'obésité. Mais à S'Indarë, on prit soin d'elle. Sans la rabaisser, sans la pousser à bout, en la protégeant des autres. C'était tout ce qu'il lui fallait pour se reconstruire, pour se construire tout court, se trouver une personnalité sans celle, écrasante, de ses frères pour lui peser sur les épaules.
Elle était tellement contente d'être enfin libérée de sa famille qu'elle ne remarqua pas tout de suite qu'elle avait changé. La transformation fut totalement indolore, suffisamment pour qu'elle ne s'en rende pas compte. Il lui fallut un certain temps pour s'apercevoir qu'elle n'était plus humaine, et qu'elle avait hérité d'une queue. Elle le prit plutôt bien, elle était même assez contente d'avoir un signe distinctif. Tellement qu'elle se fit tatouer un lézard sur un coup de tête. Elle ne le regrette pas, mais c'était loin d'être une décision réfléchie. On plaint quand même le pauvre tatoueur qui a fait les frais de son nouveau pouvoir incontrôlable et qui a, lui aussi, un lézard tatoué sur la hanche. Sans l'encre.
Les psys parvinrent à lui faire cracher toute sa peine et toute sa rancœur, à remettre son cerveau sur les rails en chassant sa dépression. En vérité, en chassant son passé. Son alimentation était contrôlée, et elle a rapidement décidé de tout laisser derrière elle : sa famille, l'Allemagne, son ancienne vie. Elle fait des efforts incroyables pour se débarrasser totalement de son accent qui lui rappelle trop qu'elle est une étrangère, et elle a délaissé la nourriture, qu'on lui interdisait de toute manière, la troquant contre des exercices parfois trop intensifs qui lui ont causé plusieurs blessures, mais qu'elle n'a pas l'intention d'arrêter. C'est sa nouvelle manière de lutter contre le stress, sa nouvelle guérison.
Sans être poussée par les psys, bien qu'ils aient noté rapidement l'effet positif que ça avait sur son moral, elle a enchaîné les régimes, les exercices, elle a lutté pour affiner sa silhouette tout en luttant pour réparer son moral, prenant jour après jour le parti de prendre les choses du bon côté, pour faire perdre patience aux plus tenaces de ses harceleurs. Jusqu'au jour où elle put enfin se regarder dans la glace avec le sourire, après avoir chassé les traces physiques et mentales de sa maladie, enfin positive et ravie d'avoir un corps de rêve. Cela lui prit sa première année à S'Indarë. Maintenant qu'elle entame sa deuxième, elle a bien l'intention de la mettre à profit pour tester ses nouvelles capacités de séduction. Quitte à se débarrasser parfois de sa queue pour quelques jours malgré la douleur, pour paraître plus "humaine". Derrière l'écran Pseudo : Martel (ça paraît très original tout à coup) Âge : 28 ans Accès 18+ : Oui Avatar : C.C. (Code Geass) Commentaire : Catastrophe incoming ~ |
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